17 avril 2009

Economie capillaire

En temps de crise il faut employer les grands moyens ! J’ai donc pris la bonne et sage décision d’arrêter d’aller chez Tony & Guy un coiffeur d’où je ressortais certes bien coiffée mais où personne ne remarquait que j’avais changé quelque chose alors que j’avais déboursé une fortune. (La dernière fois je m’en suis tirée pour 140 euros pour 2 cm en moins et une couleur et aucun compliment derrière...)

Je n’aurais tout de même pas laissé ma tête à n’importe qui. (Trop d’expériences capillaires malheureuses : de celles où l’on revient en se disant qu’on va être obligé de les attacher le temps que ça repousse ou d'adopter sa casquette à long terme. Et même si on a déboursé que 30 euros, on a envie de pleurer). S’il y a bien un domaine où j’opte pour le risque zéro, c’est le celui-là. Quand je rencontre un coiffeur dont je suis satisfaite, je ne le lâche plus. Pas question, donc, de sauter dans l’inconnu. J’ai profité de mon séjour en Bretagne pour pousser la porte du salon d’une charmante coiffeuse qui me coupait quand j’étais jeune (quand on approche des 30 ans, on peut parler de la jeunesse au passé, non ?).
Résultat : trois compliments en moins de deux heures, je me plais quand je me regarde dans le miroir et on voit que des ciseaux sont passés par là. Le tout pour 34,50 euros. Il ne me reste plus qu’à trouver le même plan à Paris. Les bonnes adresses sont les bienvenues !

3 commentaires:

Annabel Mateo a dit…

Effectivement elle est géniale cette coupe! Elle vaut largement celle d'un as des ciseaux de T&G à 140 euros. Dommage que t'as coiffeuse soit en Bretagne!

Annabel Mateo a dit…

Dommage que ta coiffeuse... rectification!

elfienet a dit…

Moi j'en connais une pas mal du tout...

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