28 avril 2009

L’Italie dans nos assiettes

Il paraît que c’est la grand retour de la pizza (ça a été dit sur BFM TV ce midi !) alors pour ceux qui ont envie un peu d'Italie dans leurs assiettes, voici mes deux adresses favorites pour aller en déguster à Paris.


Il Tre
3, Rue des Petits Carreaux dans le 2e arrondissement
Tél. : 01 40 13 03 29
Un restaurant tenu par un Italien. Une salle rouge au design épuré.
Des pizzas à la pâte légère et des produits de qualité. Ma préférée est recouverte de fromage de parme et de roquette. Je me régale à chaque fois !
A goûter également : les pâtes aux truffes.
Le plus : le carte de vins italiens.

Maria Luisa, à deux pas du canal Saint Martin.
2 rue Marie Louise, 75010 Paris
Tél. : 01 44 84 04 01
Une ambiance chaleureuse et des pizzas qui rappellent l’Italie.
A goûter également : les antipastis.
Le plus : la terrasse chauffée pour les fumeurs.

Pour l'anecdote
L’Italie n’est pas la Reine des pizzas. Cette année, le poulidor de la pizza a été décerné à une Française, Arlette Cadot, parmi 500 concurrents venus de 20 pays différents. Si ce n'est pas quelque chose ! Sa recette fait saliver : une pâte maturée quatre jours, un fond de chutney de figues, des tranches de poires, de la mozzarella. Le tout garni de roquette, jambon de parme, copeaux de parmesan et foie gras poêlé.

24 avril 2009

Interlude sexuel


Puisque qu’il paraît que c’est la Semaine du Sexe (si si c’est écrit ici), voici une musique érotique avec la voix sensuellement grave de Jean Yanne.
"Nue, entièrement nue" : un morceau de l’album Monsieur Sexe de Mr Flash qui a eu la bonne idée de racheter toute une série de disques des années 70 dans un sex-shop de Pigalle qui fermait ses portes.

tilidom.com

23 avril 2009

Fais pas ci, fais pas ça


Les Français savent faire des séries dignes de ce nom ! Beaucoup me diront sûrement qu’ils le savaient déjà grâce à Plus belle la vie, mais personnellement je n’ai jamais accroché ni trouvé particulièrement bons les jeux d’acteurs.
En revanche hier, je suis tombée par hasard sur Fais pas ci, fais pas ça et je n’ai pas pu couper avant le générique de fin. On entre dans le quotidien des Bouley et des Lepic qui tentent, tant bien que mal, de mener de front leur vie professionnelle, de couple et de parents. Ça se passe dans un quartier chic de la banlieue parisienne, un peu à la Desperate Housewives, mais avec un humour bien français. Les comédiens sont bons (Bruno Salomone est plus que charmant) et des têtes connues font leur apparition comme Patrick Bruel en sosie cleptomane ou Anémone qui incarne une vieille voisine mégère.
Je sais, ce n’est pas une découverte, puisque hier soir c’était le début de la saison 2 mais pour moi c’en était une et ça m’a fait plaisir !
Voir la bande-annonce : ici.

Dessous chics et bijoux chocs



Envie de dessous, de bijoux ou de sacs ? Rendez-vous à la vente de créateurs qui aura lieu samedi 25 de 11h à 20h au n°2 passage Thiéré dans le 11ème.
Vous retrouverez les dessous chics d’Alix de Moussac et les bijoux d’Objet Trouvé. Personnellement j’aime beaucoup ! Il y aura aussi les sacs "intelligents" de Mathilde 2C et pour les gourmandes qui ne pensent pas encore à l’été qui arrive les cakes bios de Chloé.S.

22 avril 2009

Premières soldes printanières

C’est le début des soldes de printemps ! La LME (Loi pour la modernisation de l'économie) autorise deux semaines de soldes libres par an alors les enseignes en profitent et nous avec.
-30% chez Sandro, jusqu’à -50% chez Minelli…
345 enseignes, dont la Fnac et les Galeries Lafayette, nous rendent ce printemps un peu plus radieux.
On a jusqu’au 28 avril pour se faire plaisir à petits prix.

21 avril 2009

Enfin le printemps

Un mois après son arrivée officielle, le printemps est enfin là. Et tout ce qui va avec. Les chaussures que l’on porte pieds nus, les déjeuners en terrasse, le scooter en petite veste... Ça fait plaisir et ça met de bonne humeur.

19 avril 2009

La Vallée de la Spiti : une enclave tibétaine en Inde du Nord

Souvenir d'un voyage inoubliable.

Au plus proche du Tibet, la Vallée de la Spiti, dans l’Himashal Pradesh, est l’une des régions habitées les moins peuplées au monde. Des habitants isolés qui vivent hors du temps dans un décor grandiose. Un désert de montagnes, de pierres et de glaciers.

Jonchée de pierres, traversée par l’eau qui coule des cascades, la route de la Vallée de la Spiti, sculptée à flanc des montagnes rocheuses, est la plus dangereuse et difficile d’Inde. Singh se concentre sur chaque mouvement de volant. A 2 000 mètres d’altitude, une erreur de conduite ne pardonne pas. La jeep roule à une vitesse moyenne de 20km/h.


Menant de Manali à Tabo, cette route, qui suit la rivière de la Spiti, n’est ouverte que de juillet à septembre. Neuf mois par an, recouverte de neige, la Vallée se referme sur elle-même. Ses 10 000 habitants vivent alors en totale autarcie dans leurs 80 petits villages étendus sur 76 000 km2 de terres rocailleuses. La nature est sauvage et hostile. Chevaux, ânes, yaks, moutons et chèvres se partagent ce qu’elle offre. Lorsque le brouillard se lève et que le ciel devient azur, les monts enneigés du Tibet se dévoilent au loin.
Issus de tribus mongoles sino-tibétaines venus du Nord, des nomades Khasas d’Asie centrale, des descendants du clan Shakya du Ladack et des Mudas, premiers habitants de ce désert, les Spitiens ont les traits proches de ceux des Tibétains. Ici, “Bonjour” se dit “Jule”, dérivé du mot tibétain “Tashi delek”.
La jeep ne croise que quelques autres véhicules par jour. Au bord de la route, réunis en petits groupes, des hommes et des femmes s’arrêtent un instant de casser des pierres pour regarder passer les rares voyageurs s’aventurant dans la région.
Sur le chemin, les hameaux se ressemblent tous : quelques maisons de pierres empilées à la main, une bâche pour seul toit, un intérieur creusé dans la terre, étonnament chaleureux. Ces petites habitations servent parfois de halte aux visiteurs qui peuvent goûter au thali, le plat traditionnel composé de dalh (une soupe de lentilles), riz, légumes et chapatis (pain indien).


Pour découvrir les villages pittoresques du Spiti, il faut sortir de la route principale et grimper dans les montagnes.
Perché à 4 205m, Kibber est l’un des villages les plus hauts du monde. Le fond de l’air est frais mais dès que le soleil apparait la température monte rapidement. Quatre hommes, assis sur l’herbe, jouent aux cartes et rient comme des enfants. Des gamins aux joues noircies tentent d’escalader un muret, tandis que deux autres se promenent, bras dessus bras dessous. Un couple étend du linge sur un fils de barbelé. La période estivale est celle des travaux d’amélioration du village. A son rythme, chacun des 339 habitants y participe. Dans un drap tendu, deux femmes apportent du ciment à un homme qui, une truelle a la main, construits quelques marches. A cette altitude, le souffle est vite coupé et le moindre effort épuise. Mais le sommet de Kibber offre une vue imprenable sur les montagnes et la sensation de dominer le monde.


Le Spiti est parsemé de monastères bouddhistes. Celui de Ki, village situé a 8km de Kibber, est le plus grand et coloré de la région. 115 moines bouddhistes viennent y prier et manger tous les jours à heure fixe. Et 70 enfants ont l’honneur d’apprendre ici le chemin de leurs grands frères. La tradition, moins rigide que par le passé, veut que le second fils de la famille rejoingne le “gompa” afin de devenir lama.


La ville de Kaza, centre administratif et carrefour routier, est un passage obligé pour obtenir un permis, indipensable pour poursuivre la route.


La jeep se dirige ensuite vers Dangkar, ancienne capitale du Spiti, située à 3 870m, 300 m au-dessus de la rivière de la Spiti. Le village est abrupt. La montée à pied dans la terre grise rocailleuse est délicate. Un escalier mène à un stuppa qui domine la Vallée. Des drapeaux bouddhistes vert, jaune, bleu, rouge et blanc flottent au vent. Il y a comme un sentiment d’iréel face à la magie de ce lieu. Une sensation de vertige et l’impression de n’être rien face à l’immensité du décor.


Les maisons, surplombant le gompa vieux d’un millénaire, se fondent dans les roches taillées par le vent et le soleil. Une invitation à boire un chai (thé indien) ne se refuse pas. Depuis son étable au rez-de-chaussée, une vache noire regarde l’étranger monter les quelques marches menant à la pièce de vie principale. Une femme, assise par terre, épluche des légumes pour le dîner. A côté, allongé sur une couverture, son bébé sourit, un mala (chapelet indien) entre les mains. Le thé se déguste autour d’une des tables basses en bois. Chacun se sent ici un peu comme chez soi.
En contre bas du village, pois, blé et orge poussent dans des champs verdoyants. Comme dans le reste de la région, les habitants de Dangkar cultivent d’avril à octobre et stockent des provisions pour l’hiver, long et rude.


Tabo est la seconde ville de cette enclave tibétaine. Des grottes, dans lesquelles les lamas viennent méditer, sont creusées dans la crête qui la surplombe. Le gompa de Tabo, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, date du Xème siecle et préserve des trésors bouddhistes très anciens. Dans la cour du monastère couleur sable, trois eucalyptus offrent quelques parcelles d’ombre pour se protéger du soleil qui tape fort en ce début d’après-midi. Dans une des petites ruelles de la ville, une femme âgée, souriante, tricotte des chaussettes en laine de yak et fabrique des bijoux en turquoise et corail. Des châles et objets venus du Tibet sont étalés dans les petites échoppes. Dans cette région isolée, mieux qu’ailleurs, la culture et l’artisanat tibétains ont pu être précieusement conservés.

17 avril 2009

Economie capillaire

En temps de crise il faut employer les grands moyens ! J’ai donc pris la bonne et sage décision d’arrêter d’aller chez Tony & Guy un coiffeur d’où je ressortais certes bien coiffée mais où personne ne remarquait que j’avais changé quelque chose alors que j’avais déboursé une fortune. (La dernière fois je m’en suis tirée pour 140 euros pour 2 cm en moins et une couleur et aucun compliment derrière...)

Je n’aurais tout de même pas laissé ma tête à n’importe qui. (Trop d’expériences capillaires malheureuses : de celles où l’on revient en se disant qu’on va être obligé de les attacher le temps que ça repousse ou d'adopter sa casquette à long terme. Et même si on a déboursé que 30 euros, on a envie de pleurer). S’il y a bien un domaine où j’opte pour le risque zéro, c’est le celui-là. Quand je rencontre un coiffeur dont je suis satisfaite, je ne le lâche plus. Pas question, donc, de sauter dans l’inconnu. J’ai profité de mon séjour en Bretagne pour pousser la porte du salon d’une charmante coiffeuse qui me coupait quand j’étais jeune (quand on approche des 30 ans, on peut parler de la jeunesse au passé, non ?).
Résultat : trois compliments en moins de deux heures, je me plais quand je me regarde dans le miroir et on voit que des ciseaux sont passés par là. Le tout pour 34,50 euros. Il ne me reste plus qu’à trouver le même plan à Paris. Les bonnes adresses sont les bienvenues !

15 avril 2009

Pour l'enterrement d'une pratique désuète

S’il y a une chose que je trouve ringard au possible c’est bien les enterrements de vie de célibataire. Comme si de nos jours on n’avait pas suffisamment profité et qu’il fallait une "der des der" pour s’amuser avant d’entrer dans une vie routinière et ennuyeuse d’adultes responsables.
Rien de plus ridicule qu’un mec qui se ballade dans la rue avec un slip sur la tête pour quémander aux passantes un bisou, dernier plaisir avant de se faire passer la corde au cou. Ou une future épouse déjà en robe blanche, un panier à la main, demandant quelques pièces pour s’offrir une dernière soirée de folie.
Personnellement, si l’on suppose que je me marie un jour (ce qui est loin d’être assuré), il faudra me faire avaler du GHB pour espérer que je déambule dans la rue affublée de je ne sais quel accoutrement (sachant en plus que je déteste me déguiser). Et si on m’offre Kelian en pâturage, il ne faudra s’attendre à rien de plus qu’un fou rire. Et ça fait quand même cher pour un simple éclat de voix !
Il serait peut-être temps d’évoluer. Ce genre de pratique, d’abord réservée à la gente masculine, date du XVIIIe siècle. Les hommes se retrouvaient à l’auberge du village pour une beuverie et enterraient symboliquement le jeune homme et ses erreurs passées pour qu'il puisse entrer sereinement dans sa vie d’époux respectable. Quant aux jeunes filles, puisqu’elles se mariaient vierges, elles n’avaient aucun besoin de célébrer la fin de leur vagabondage amoureux avant de s’engager et se contentaient d’une collation entre amies dans la maison des parents.

Amies, amis.
(Car pourquoi se contenter d’une soirée entre filles ? Plus on est nombreux, plus on rit !).
Si je me laisse un jour passer la bague au doigt, je vous demande d’éviter la déambulation honteuse dans la rue et le stripteaseur ridicule (pour ça je peux aller gratuitement chez Régine le jeudi soir). En revanche, je suis ok pour : prendre l’avion pour un pays proche mais chaud (le Maroc par exemple), une séance détente (j’adore les massages et ça tombe bien ça coûte moins cher à Marrakech qu'à Paris), un sport extrême de votre choix (mais sachez que j’ai toujours rêvé de faire un saut en parachute), une bonne bouffe (et du champagne !) et une fiesta dans la villa que vous aurez louée. Ah oui, et n'oubliez pas de convier le futur marié !

NB 1 : J’ai vraiment de la chance d’avoir des ami(e)s aussi généreux ! ;-)
NB 2 : Bon j’avoue je ne suis pas réellement pour l’enterrement de cette tradition mais plutôt pour la transformer en une fête prénuptiale, parce qu’on a beau dire mais quand on est en couple, on a quand même moins de temps à accorder aux potes. Et puis le soir du mariage, quand il y a la famille, il paraît qu'on est obligé de bien se tenir...

14 avril 2009

Dégustation d'ormeaux bretons

Je viens de passer un week-end ensoleillé chez moi sur la cote de granit rose et ai fait découvrir à mon Parisien préféré une spécialité du coin : les ormeaux, un coquillage que l’on ne trouve que sur la cote nord de la Bretagne.


Il s’agit d’un coquillage univalve, muni d'un pied musclé qui lui permet de se fixer aux rochers. Sa coquille est ovale, percée d’une rangée de petits trous et tapissée d’une nacre colorée. On en retrouve souvent dans les maisons bretonnes, transformées en cendrier ou porte-savon.
Sa chaire tendre et goutue, sa coquille nacrée et les perles qu’il produit a fait de l’ormeau un coquillage très recherché. Aujourd’hui, il devient rare (donc cher) et sa pêche est réglementée : elle doit se faire de jour, à la main ou à l’aide d’un croc à crabe. On ne peut en capturer que 20 maximum par personne et le coquillage doit faire au moins de 9 cm de longueur pour être ramassé.


Les ormeaux demandent une préparation avant d’être cuisiner. Il faut tout d’abord les extraire de leur coquille et enlever le pied blanc (le muscle). Puis les placer dans un torchon et les battre, à l’aide d’un galet par exemple, afin de les attendrir. On ne les mange jamais le jour même de la pêche et il faut donc les placer environ 24 heures au frais avant de les déguster.
Pour la cuisson, il suffit de les saisir à la poêle puis de les faire cuire à feu doux pendant 5 minutes. Je les ai cuisinés avec du beurre (demi-sel bien sûr), du persil et un peu d’ail et ai ajouté un petit court-bouillon. Le tout servi avec des pommes de terres écrasées. Et mon Parisien s’est régalé !

10 avril 2009

Un triptyque dont on ne fait qu’une bouchée

Je n’ai jamais été fan de romans policiers mais Millénium m’a définitivement conquise.
Je viens à peine de terminer le tome 2 mais ai déjà envie de replonger pour une nouvelle enquête finement menée par le duo choc que forment Lisbeth Salander, asociable, violente et pertinente, et Super Blomkvist, le journaliste passionnée, tenace et charmeur de Millénium.
L’auteur Stieg Larsson nous tient en haleine du début à la fin. On croit parfois détenir la clé mais la vérité n’est jamais là où on l’attend, toujours plus complexe et plus sombre.
Je vais attaquer le tome 3 dès ce soir. En évitant de lire la quatrième de couv pour ne rien connaître de l’intrigue. Suspense garanti.

9 avril 2009

Il y a des choses qu’il ne faut jamais arrêter

Et d’autres qui n’iront jamais ensemble : être mince et en couple, par exemple. Cela fait cinq mois que j’ai rencontré mon chéri et autant de kilos en plus qui depuis se sont inscrits sur la balance. Comme je ne compte ni le quitter ni continuer sur ce rythme-là, j’ai dû me rendre à l’évidence : il va non seulement falloir se mettre au régime (en commençant par arrêter les trois dîners par semaine au resto avec entrée-plat-dessert) mais aussi se remette au sport.
Je suis partie de trois constations :
1. Je déteste courir. Tous les "joggeurs" affirment qu’une fois qu’on s’y met, on apprécie mais le plus dur c’est de s’y mettre. Je n’y suis pas encore arrivée.
2. Mon heure hebdomadaire de tennis ne fait pas grand effet sur ma silhouette. Certes je m’amuse et je bronze un peu lorsque je joue au soleil entre midi et deux, mais au final je n'ai aucune réjouissance sur ma balance.
3. Je suis légèrement feignasse.
J’en ai déduit qu’il n’y a pour moi qu’une solution efficace : s’inscrire dans une salle de gym. Suer sur de la house dans une salle à la chaleur moite en compagnie d’une dizaine d’autres nanas dans mon cas.
Ça fait bien quatre ans que je n’ai pas franchi la porte d’un club de sport (et là on se dit une fois de plus que le temps passe vite) et autant que je n’ai pas entendu les mots "body barre", "cuisses abdos fessiers", "step"...


Motivée, j’y retourne persuadée qu’en ancienne habituée je réaliserai les exercices les doigts dans le nez. Au final, ça ne s’est pas tout à fait déroulé comme ça.
Dès la deuxième série de body barre, les muscles de mes bras se sont mis à trembler et je ne suis même pas parvenue à aller au bout des trois séries de demi-pompes alors que ma voisine de 50 ans y arrivait aisément et sans souffler. La séance d’abdos de vingt minutes a été pour moi entrecoupée de pauses régulières et après les cinq premières minutes de step, je me souvenais que j’avais des mollets qui ne demandaient qu’à travailler.
J’ai donc décidé une chose : cette fois-ci, je m’y mets vraiment (il faut dire que je n’ai pas réellement le choix) et surtout je n’arrête plus jamais la gym aussi longtemps. Pour le poids sur la balance, pour mes muscles qui ne demandent qu’à avoir une jolie forme galbée, bref pour mon corps qui a bien souffert (et pendant plusieurs jours !) de cette reprise.

7 avril 2009

Une expo-vente de créateurs à prix atelier

L’autre jour, il faisait trop beau pour rester enfermée. Je me baladais rue Beaurepaire et suis passée devant une vitrine qui m’a donné envie d’entrer. Il s’agissait en fait d’une expo-vente de créateurs : Des filles en Aiguille.


Fringues, objets de déco, sac, bijoux… Plein de trucs sympas à prix atelier. J’ai craqué sur une petite tenue super mignonne La Fée Clochette pour la petite fille d’une amie, ainsi qu’un sautoir Virginie Mahé avec deux fleurs en bronze… très printemps !
Alors y faire un tour. Ça dure jusqu’au 12 avril.

3 avril 2009

Soirée TOI & MOI

S’il y a bien un jour de la semaine où j’apprécie rester tranquille, c’est le lundi. Mais quand Dcontract organise une soirée TOI & MOI réunissant les couples les plus célèbres du cinéma, alors j’enfile mon costume de Cléopâtre, emmène César et c’est parti !
Le Forum des images s’était transformé en carré VIP : on pouvait y croiser Thelma et Louise, Léon et Mathilda, le petit chaperon rouge et le grand méchant loup, Sally et Mr Jack, l’équipe mythique de Pulp Fiction, Bonnie et Clyde, Marty McFly et Doc, Ann Darrow et King Kong, Bob l'Eponge et Patrick l'étoile de mer, et j’en passe !

Pour un aperçu de toutes les vedettes présentes, jetez un œil sur les photos de Jean Picon.

La soirée a démarré par une séance photo pour voter pour les meilleurs costumes (ça se passe ici), puis les stars du cinéma ont enchaîné les verres à l’Open Bar Absolut Vodka. Autant vous dire que la température a rapidement grimpé ! Les couples se déchaînaient sur les musiques de films revues par la fanfare Ouaiscecool puis sur le son d’FX de Cindez. Masquées, les filles se déhanchaient sans pudeur, les corps s'embrasaient, les langues s’emmêlaient dans la joie et la bonne humeur. La piste est rapidement devenue noire, le sol collant. Les chutes se sont enchaînées, les danses étaient torrides. Les toilettes pour hommes se sont transformés en fumoir. Prise en flagrant délit, j’ai réussi à corrompre un pompier qui en a finalement grillé une en compagnie de la Reine d’Egypte. Au boudoir, les poses suggestives, à deux ou à plusieurs, se succédaient sur le lit à baldaquin. Dans la salle, Catwoman nous faisait une démonstration de ses atouts et ne sortait pas que ses griffes, Tarzan criait, Thelma et Louise se battaient au sol… L’ambiance était folle ! Une soirée déjantée comme on les aime. Jusqu’à minuit. Heureusement car (quand même) on était que lundi…

Le French kiss était à l’honneur ! Voir la vidéo en cliquant .

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