Je ne pense pas que je vivrai assez longtemps pour voir un robot s’occuper de mon ménage… Mais ce qui est sûr, c’est qu’aujourd’hui les gens parlent déjà tout seuls dans la rue, leur oreillette dans le lobe, et que demain ils avanceront en regardant la vie à travers leur écran de téléphone.
Le boulot de certains consiste à imaginer le monde numérique dans lequel nous vivrons. Les 200 experts de Netexplorateur ont découvert avant tout le monde Twitter, Deezer ou Netvibes. Ils captent les innovations numériques et analysent les nouveaux usages qui en émergeront. Chaque année, l’observatoire français publie le Palmarès des 100 initiatives les plus prometteuses du numérique.
Avec l'arrivée du web 3.0 émerge la notion de « réalité augmentée », qui crée un lien entre la réalité et le monde virtuel.
Lauréat du Palmarès, Layar est un navigateur mobile inventé par des Hollandais permettant de lire sur son smartphone toutes les informations accessibles à partir du lieu où l’on se trouve.
Traduction : demain, en dirigeant notre mobile vers un immeuble, on pourra savoir si un appartement est à vendre, connaître son prix et obtenir le contact de l’agent immobilier.
Autre innovation : l’application suédoise TAT augmented ID, avec laquelle le téléphone est capable de reconnaître un visage et d’y associer les contenus personnels que la personne aura bien voulu partager sur les réseaux sociaux.
On vivra DANS internet, en observant la vie à travers notre écran.
Les Américains vont encore plus loin avec le projet Sixth Sense, en imaginant le web corporel, un monde sans clavier, ni écran.
Toutes ces innovations impacteront nos modes de vie, nos mentalités, nos rapports aux autres, changeront notre façon de communiquer, consommer, travailler et dessinent les contours d’un nouveau monde. Un monde dans lequel le droit au savoir est universel, où la vie privée, en s’exposant sur la toile, devient publique, où l’individu est identifié et géolocalisable.
De la science-fiction qui va devenir réalité. Qui attire autant qu’elle peut effrayer.
Ici, une vidéo qui illustre ce qui nous attend.
Pour un pull en coton ou en cachemire : Trendy workshop
Pour une écharpe ou un bonnet tricoté à la main par grand-mère Simone : Golden hook
Il me reste quoi pour ne pas sortir à poil ?!!!
« Mais il n’est pas bleu ! » vous me direz. Et bien non… puisque je me le suis fait voler.
C’est quand même un joli lot de consolation…
Je porterai une fois de plus un maillot Pain de sucre. Sauf que le mien sera rouge et rose, peau blanche oblige...
... et si dans une autre vie, j'avais été bronzée (avec un corps de rêve).
En attendant, cet été, ce sera destination le Venezuela et c'est pas mal non plus!
Avec toutes les bonnes adresses de boutiques en ligne qui donnent envie de dépenser, on fait comment NOUS pour résister?!!!
Je pensais passer un bon moment, mais là... je n’avais pas envie que la fin arrive et je suis ressortie avec le sourire pour toute la soirée. L’histoire est super bien écrite, les dialogues sont bons, Romain Duris a enfin retrouvé le charme auquel j’avais succombé dans Le Péril jeune, Vanessa Paradis est toujours aussi craquante (et a bien raison de se faire rare), le duo Julie Ferrier-François Damiens est à tomber de rire et Helena Nogerra nous énerve autant qu’elle nous amuse. Enfin une comédie romantique française digne de ce nom ! A voir absolument !
Le short IKKS, 90 euros.
Le marcel Bel-air, mais avec le petit gilet court assorti, 100 euros l'ensemble.
Et la veste noire Comptoir des cotonniers, 210 euros.
J’ai eu la chance de découvrir les trois premiers épisodes de la série en avant-première… et j’ai passé un super moment !
