Il paraîtrait que je suis la génération "Y", caractérisée par quatre "i". Je suis une "enfant du millénaire", née des baby-boomers, ou encore une "digital native".
Le Y est :
- individualiste : la passion, l’action et son plaisir priment.
- interconnecté : avec les réseaux sociaux, les téléphones mobiles, les messageries instantanées, il est en permanence connecté au monde et à son entourage.
- impatient : le Y veut un travail ayant du sens, une rémunération juste, un manager compétent à l’écoute, et que ses compétences et qualités soient reconnues. (On serait censé être exploité par un incompétent et aimer ça ?). Pas de place pour l’ennui. Le Y veut apprendre et progresser rapidement.
- inventif : il ne supporte pas la médiocrité et la facilité. Il est exigeant envers lui-même et prêt à s’investir s’il estime que son travail est utile. Il est réputé créatif et multitâche.
Le Y est-il plus sentimental que son aîné ? Il place sa vie personnelle avant sa carrière. Il ne se préoccupe pas de la sécurité de l’emploi, même en période de crise. Ce qu’il veut, c’est un boulot qui lui plaît et le motive. Son CV est toujours à jour et les sites d’emploi font partie de ses favoris. C'est à l’entreprise de le séduire !
2 commentaires:
Incroyable, je me reconnais en chaque phrase, moi aussi je peux dire je suis Y
bisous bisous
Comme ça on se sent moins seule... ;-)
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