21 septembre 2009

Brocante (épisode 1) - La colonne en métal

Déjà trois semaines que nous avons emménagé dans notre nouvel appart… (et presque toujours autant de cartons). Après avoir pensé à l’utile et à l’indispensable, place à la déco.
J’adore chiner, traîner dans les brocantes ou aux puces, flâner jusqu’au coup de cœur pour un objet ou un meuble que l’on ne retrouvera pas chez le voisin. (Ikéa c’est sympa pour le porte-monnaie, mais vivre dans une maison-témoin ne fait rêver personne, si?!)

Dimanche, jour de repos. Le premier depuis trois semaines. Pas de rangement, pas de peinture, pas de virée dans les grands magasins, ni de trous dans les murs, avions-nous décidé. RIEN pour l’appart. Une journée pour NOUS.

Une brocante est organisée à deux pas de chez nous. Ça ne se refuse pas. Alors direction Voltaire, histoire de se balader, sans envie particulière, ni réel besoin d’acheter.

Mais dès le troisième stand, on tombe tous les deux amoureux d’un meuble industriel. Une colonne en métal qui permettrait de ranger tout ce qui traîne autour du bureau. Vingt minutes, le temps de la réflexion et de visiter les autres stands, et « c’est décidé, on le prend ». Mais le coup de cœur n’attend pas ! En vingt minutes, notre meuble a été vendu à d’autres…
Nous voilà dépités. Refusant la fatalité, on se décide finalement pour une autre colonne du même type (qui nous plaît un peu moins mais nous fait économiser plus de 100 euros) sur un stand situé à quelques mètres (et toc!)

Finalement, on est revenus de notre petite promenade avec 250 euros en moins, une lourde étagère sous le bras et le sourire !
J’ai aussi repéré un lustre pour le salon (à 40 euros). J’ai pris la carte de la boutique et le garde en tête pour notre prochain achat, en espérant qu’il en restera…
On s’est aussi arrêtés devant une belle lampe : un ancien projecteur qui éclairait le pont d’un bateau, mais ça dépassait le budget qu’on ne s’était pas fixé. 480 euros sans le pied.

Pour ceux qui aiment les meubles industriels, voici l'adresse de deux boutiques :

No Factory
2 rue de l’hôpital Saint-Louis dans le 10e
ouvert du mardi au dimanche de 14h à 19h

Carouche
18 rue Jean Macé dans le 11e
Site : http://carouche.typepad.com/

Et sur le web :

Pescatore et Atelier 159.

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